martes, mayo 05, 2009

Le Ville de Mexico dans le temps de l'influenza humaine.




Dans cettes jours je m'ai senti comme dans un film de science fiction. De soudain, nous ne pouvions pas sortir de nos maisons parce que nous étions en danger d'acquérir un nouveau virus inconnu pour le monde. Notre vie quotidienne a disparu pour plus de une semaine.

Mais il est étrange que ce virus est apparu dans la ville de Mexico, un megapole de 20 milllions d'habitants. Comme un film futuriste, distopique, le nouveau virus a choisi un ville monstruese et caotique pour se propagér facilement...un virus intelligent ?

Je rappelle quelques scènes d'une New York désolé dans le film "Je suis une légende", avec Will Smith, cette vision d'une urbe déserte m'a étonnée.

Ces jours il était totalement étrange voir à la ville de Mexico déserte, parce que il était une ville vibrante et pleine de mouvement, des gens en marchant par le centre historique et partout dans les fins de semaine.


Dans les dernièrs jours nous avons vu aussi l'apparition d'un autre virus: le virus médiatique. Le propagation de nouvelles dans la radio, la presse et l'internet. Jacobo Zabludowsky, un journaliste vétéran qui a couvert le séisme de 1985 dans la ville de Mexico, au début de l'éventualité sanitaire fait une couverture ininterrumpue dans la radio… jusqu'à nouvel avis.

Ce virus médiatique inclut aussi tout type de théories spéculatives qui sont propagées par l'internet.

Depuis un vidéo de la "doctrine du shock", basée dans le court-métrage de l'auteur canadienne Naomi Klein en collaboration avec le mexicain Alfonso Cuarón; en passant par des complots des grandes compagnies pharmaceutiques; jusqu'à ce que la théorie que le bourgeon du virus a été une attaque biologique contre le Mexique. Une arme biologique pour contrôle de la population et le contrôle des masses par la panique. Assez!

Mais les gens communs, les gens de la rue, pensent seulement retourner au travail. Spécialement dans les quartiers populaires les gens salent à la rue, et dans des lieux comme Tepito, ni même ils utilisent le masque pour travailler. Mais dans les quartiers de classe moyenne les gens s'il utilise le masque pour sortir à la rue. Et les gens riches ? ils ont abandonné la ville très vite.

Tout monde au Mexique veut sortir en avant, bien que nous sommos stigmatisés maintenant à l'étranger.

Comme si le peuple mexicain était le coupable de l'apparition de ce virus, mais ils existent versions dont le virus est d'abord apparu aux Etats-Unis. Alors, ce que nous voyons c'est un type de discrimination, la biodiscrimination.

Mais nôtres " frères" latino-americains ils ne nous ont pas soutenues dans cette crise sanitaire, beaucoup ont oublié que nous avons donné maison à ses réfugiés à des époques de crise politique.

Mais il est juste dans ce type de crise quand les êtres humains montreront leur meilleur ou pire côté, sa solidarité ou sa pauvreté d'esprit, o de coeur. Aussi une crise fait que l'humanité montre une certaine irrationalité qui est traduit en peur, spécialement la peur a ce qui est inconnu. On explique ainsi cette discrimination au peuple du Mexique dans ces jours.

D'autre part, l'Europe a oublié les maladies qu'il a apportées à l'Amérique à l'époque du "rencontre de deux mundos" dans le siècle XVI? La variole a aidé plus à la destruction de l'Empire Aztèque plus que les armes des conquérants européens. La variole jus le rôle d'une arme bactériologique.

Dans 1520 il y avait 22 millions d'indigènes dans mesoamerique quand j'arriverai l'envahisseur, pour 1550 il y avait 3 millions d'indigènes et pour des 1590 presque millions d'indigènes.

Et en retournant au sujet du virus, les virus n'ont pas nationalité et ne reconnaissent pas de frontières. En outre tous nous sommes des voyageurs dans ce navire appelé Terre, la planète bleue. Toute l'humanité a un destin commun. Jamais comme maintenant, un événement qui arrive à l'autre côté du monde, il ne nous affecte d'une manière ou d'un autre. L'effet papillon ? Peut-être la terre est fatiguée de nous et elle est seulement défendue de nous, peut-être l'humanité est le virus de la terre...J'espère seulement que l'humanité ait un changement de conscience pour son bien-être…

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